9- Vers le soir, une passante, apitoyée par ma solitude, par mes vêtements détrempés et souillés, inquiète et à la fois charmée de me voir proférer interminable
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jeannebommarito19
Question
9- Vers le soir, une passante, apitoyée par ma solitude, par mes vêtements détrempés et souillés, inquiète et à la fois charmée de me voir proférer interminablement des alexandrins, d'une voix de plus en plus éteinte, brisée, m'aurait accueilli chez elle, dans un appartement plein de fleurs, d'odeurs légères et de divans profonds. Réécrivez ce texte en remplaçant « une passante » par « deux passants >>.
2 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
Vers le soir, deux passants, apitoyés par ma solitude, par mes vêtements détrempés et souillés, inquiets et à la fois charmés de me voir proférer interminablement des alexandrins, d'une voix de plus en plus éteinte, brisée, m'auraient accueilli chez eux, dans un appartement plein de fleurs, d'odeurs légères et de divans profonds
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2. Réponse hirondelle52
Bonjour,
Vers le soir, deux passants, apitoyés par ma solitude, par mes vêtements détrempés et souillés, inquiets et à la fois charmés de me voir proférer interminablement des alexandrins, d'une voix de plus en plus éteinte, brisée, m'auraient accueilli chez eux , dans un appartement plein de fleurs, d'odeurs légères et de divans profonds.
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